Journal d'un passionné

Jeudi 4 juin 4 04 /06 /Juin 11:00

Union de blogs

Satheen et Stif ont décidé de s'unir dans les liens sacrés du blog !
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Par stif
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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 13:58

De bien belles vacances (épisode 3)

Episode 1
Episode 2

Episode 3 - Rêve breton

Il ne me reste que quelques kilomètres avant d'arrivée à destination, la route a été longue et je n'ai rien mangé, je m'arrête donc dans un supermarché pour acheter un sandwich rapidement.

Je suis assez surpris en ressortant de voir qu'une jeune femme n'avait pas pris de caddie et s'entêtait à porter une demi douzaine de sacs en plastique. Elle avait la vingtaine d'année, assez fine, une robe légère laissait deviner qu'elle ne portait pas de soutient gorge, son visage était clairement celui d'un ange. Un ange qui sourit peu mais dont les petits yeux verts laissaient transparaitre une envie d'évasion.

- Vous ne voulez pas un caddie pour amener ca à votre voiture ?
- J'ai pas de voiture, je vais à l’arrêt de bus, ca va aller me dit elle essoufflée
- Je peux vous aider je suis garer juste là
- J'ai l'habitude, je le fait souvent
- J'ai peur de voir vos beaux bras s'arracher, ca a l'air très lourd
- Vous êtes charmant me dit elle en me cédant une poignée de sac

Les miens manquent de s'arracher aussi mais je fait mine d'être le mâle musclé que je suis censé être jusqu'a mon coffre

- Et bien vous partez en vacances, il est déjà plein ce coffre !
- Oui ya encore de la place c'est bon

Durant quelques kilomètres, on fait connaissance dans la voiture... puis viens ce moment
- Vous êtes d'ou alors dites moi ?
- Je viens de Nantes près de la Bretagne
- C'est vrai, j'en rêve depuis toujours d'aller là bas mais sans voitures ce n’est pas évident
- Vous êtes dans une voiture là, je vous emmène où vous voulez moi !
- Et l'essence, ce n’est pas donné aujourd'hui !!!
- C'est vrai ce n’est pas donné mais je vous échange le trajet contre un de vos sourires
Elle ne pu s'empêcher de sourire sur cette parole et je senti que j'avais touché là où il fallait pour une fois.

- Mais où vous allez, je n’habite pas par là !!!
- On va en Bretagne ma chère
- Heyyy je n’ai pas dit oui !!!
- Vous avez souri
- Mais ce n’est pas pour ca, j'ai mes courses à ranger.
- On les rangera ce soir à notre retour, les rêves ont la priorité sur le frigo, proverbe breton, enfin je crois...

Son rire signifiait qu'elle avait abandonné l'idée de repousser le rendez vous avec la Bretagne et j’étais assez fière de moi. On a ainsi partagé nos joies et nos peines pendant ce long trajet et c'est ainsi que je découvre cette jeune femme à qui la vie n'avait pas fait de cadeau et qui semblait enfermée dans une vie qu'elle aurait voulu autrement.

- On arrive bientôt je vais te montrer un endroit que j'adore, c'est un véritable endroit pour penser, pour songer, pour rêver, pour réfléchir, ca va te plaire.

L'accès n'est pas facile et nous voila obligé de finir la centaine de mètre restant à pieds. Ce petit chemin en terre est désert à cette heure. Et on commence à entendre au loin les mouettes et le bruit des vagues qui frappent indéfiniment la falaise quelques dizaines de mètres plus bas. A la vue de cet infinie étendu d'eau déserte et au soleil qui commençait à se coucher elle n'arrivait plus à décrocher son sourire.
Je la dévisageais encore une fois avec ce sourire, ces petits yeux verts pétillaient devant ce soleil et le peu de vent qu'il y avait ce soir là caressait ses cheveux.
Elle resta plantée là assise à coté de moi sans rien dire pendant de longues minutes.

Sans un mot elle se tourne enfin vers moi et approche ses lèvres des miennes pour me délivrer un baiser extrêmement sensuel. Elle enroule ses bras autour de mon cou et continu à m'embrasser de plus en plus fort me faisant tomber à la renverse.
Nous sommes maintenant allonger dans l'herbe et elle commence à parcourir mon torse en prenant soin de laisser un baiser partout où elle passe. Je suis allongé sur le dos et profite de ce cadeau qu'elle m'offre.
Mon sexe su durcit au passage de ses mains et de sa bouche sur mon corps, elle le sent et décide de le délivrer de mon pantalon.
Elle est maintenant un genou de chaque coté de mon corps et commence à s'occupé de mon membre déjà gonflé et dur comme dans ses meilleurs jours. Elle fait glisser ses mains de haut en bas, passe sa langue et ses lèvres, c'est irrésistible et je ne peux contenir mes halements.
Elle en lève ensuite sa robe et me laisse découvrir un corps nu, un corps sublimé par la nature qui nous entoure, cette une pure vision de rêve, un tatouage orne l'une de ses cuisses tout près de sa porte des plaisirs.
On commence alors à faire l'amour sur cette herbe fraiche en s'embrassant de plus en plus langoureusement. Le plaisir est intense lorsque mon sexe traverse le sien. Mes mains parcours ses hanches, ses seins, ses fesses, c'est un véritable délice.
Le corps à corps continu dans de nombreuses positions et ce mélange devient torride, elle s'abandonne et je la sent jouir, une jouissance très profonde qui semble venir de très loin, comme si elle n'avait pas fait l'amour depuis une éternité.
Elle continu, elle semble prendre maintenant les choses en main et décidée à me faire crier de plaisir, les va et viens deviennent sauvages et nous roulons tellement sur le sol constamment que nous sommes maintenant à plusieurs mètre de nos vêtements.
Je ne peux plus me retenir, elle ne me laisse aucun répit et se délecte de me voir exploser de plaisir dans cette herbe fraiche.

Nous restons allonger là pendant plusieurs minutes, son sourire reste gravé sur son visage et je suis le plus heureux et le plus chanceux des hommes.

- Il commence à faire sombre, tu peux passer la nuit chez moi si tu veux.
- Oui je veux bien

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Par stif44
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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 13:55

De bien belles vacances (épisode 2)

Résumé du précédent épisode :

J'ai pris la route un matin après une soirée bien arrosée, un mal de crane terrible gâche un peu le début de mes vacances. Heureusement, je tombe sur une charmante pharmacienne qui connait plus que son métier !

Episode 2 - Retrouvailles

La route est bien plus agréable sans ce mal de crane. Ce punch était délicieux hier soir, Jean Marc avait eu une bonne idée quand il m'a appelé il y a deux semaines pour m'annoncer qu'il organisait une soirée avec tous les anciens du collège.

Ha, le collège... Cette soirée était pour moi l'occasion de revoir ma première amourette : Aurélie. Amourette qui se résumait à quelques balades main dans la main et à quelques bisous à l'ombre d'un bouleau dans la cours de récré.
Il y a 12 ans maintenant Aurélie était le genre de fille qui n'avait aucun problème avec les garçons ce qui lui a valu de "sortir" avec la moitié de la classe. Elle n'était pas spécialement canon mais était très entreprenante. Et c'est ce qu'il faut avec de petits branleurs de 13 ans qui parlent beaucoup mais qui n'ont finalement pas fait grand chose (sexuellement j’entends).

- Excuses moi Jean Marc, est ce qu'Aurélie est venue ?
- Ouais Ouais elle est là.... Aline t'as pas vu Aurélie ?

Aline était celle qui trainait toujours avec Aurélie au collège.
Elle était son bras droit, sa plus fidèle amie et le charisme d'Aurélie renforçait sa timidité. Elle ne parlait pratiquement pas et pourtant elle plaisait à beaucoup de garçons... qui n'osaient pas lui dire non plus.

Mais au moment où Jean Marc l'interpelle, mes yeux explosent devant la sublime femme qu'elle est devenue. Elle avait changé de coiffure et sa petite coupe au carré avait laissé place à une magnifique chevelure un peu plus longue. Le miroir de sa salle de bain avait du se régaler pendant les heures qu'elle a passée à se maquiller, ses yeux étaient incroyablement mis en valeur. Sa tenue me laissa penser qu'elle avait pris sa vie en main et qu'elle n'était plus l'ombre de son modèle.

- AURELIIIIIIIE, cri t'elle à travers le salon faisant sursauter les invités qui manquent d'écrasés leurs gobelets de punch entre leurs doigts.
Pas de doute elle n'était plus la jeune fille timide à qui je n'avais jamais parlé. Ses pieds entreprennent une marche sensuelle dans ma direction, guidés par de sublimes jambes venant se cacher derrière une minijupe grise à carreaux très sexy.
Je me mets à penser presque tout haut "Pourquoi tu lui a jamais parlé ?? POURQUOI ?"

- Et bien tu as encore grandi depuis le collège
- Toi tu as fait plus que grandir
- C'est vrai tu trouves aussi que j'ai grossi ?

Est ce que j'avais été maladroit ou est ce que même les plus belles femmes de ce monde se trouve toujours trop grosse. Dans les deux cas il fallait corriger le tir.

- Qui t'as dit ca, il a du boire trop de punch !!

En disant ca je me suis un instant demander si Aline n'était pas obèse et que c'est moi et mes 5 ou 6 verres de punch qui transformait toutes les femmes en beautés fatales. En tout cas, elle se mit à lâcher un premier sourire.

- Tu le trouve comment ?
- Il te va à ravir !
Elle rit presque au éclat.
- Je parlais du punch.
Difficile de ne pas faire savoir que je suis troublé avec autant de réponses à coté de la plaque...
- Il est très bon, j'en ai déjà bu bien trop, ca doit commencer à se voir d'ailleurs.
- Tu parlais de quoi toi ?
- De ta tenue, tu es ravissante.
- Merci parce que j'avais hésité avec pleins d'autres trucs.
- Et bien t'as fait le bon choix.
- Toi aussi t'es bien habillé, dommage que le blanc tache !
Elle me montre une petite tache sur mon torse en posant sa main
- Merde, je suis vraiment pas doué

- Tient Aurélie, on te cherchait
- Salut ca va "Petit Moineau"
"Petit Moineau" était le surnom que m'avait donné Aurélie, si c'était très mignon à l'époque, c'était très ridicule aujourd'hui....
- Ha oui c'est vrai, j'avais oublié avouais-je
- C'est vrai que c'était ridicule reconnait Aline

J'ai ensuite échanger beaucoup de banalité avec Aurélie que je ne pourrai vous décrire étant constamment fixé sur Aline qui discutait aussi non loin de là.
Puis elle sort une cigarette et se dirige vers la sortie en me lançant un sourire.

- Excuses moi Aurélie, j'ai oublié mon portable dans ma voiture...
Quelle excuse bidon mais je pouvais retrouver ce sourire en passant la porte

- Tu t'ennuie pas trop ? me demande-t-elle
- "Alors qu'est ce que tu deviens ?" "T'habite ou ?" C'est assez agassant à force
- Tu remarqueras que je t'ai pas demandé...
- Et que moi non plus
...
- T'habites où ?
Je m'y attendais mais je rigolais quand même sans savoir si je devais répondre mais elle enchaina
- Il ne fait pas chaud quand même le soir...
- J'ai un blouson dans ma voiture, tu le veux ?
- Moi aussi, tu m'accompagnes ?

Et nous voila nous éloignant dans l'obscurité, s'écartant du bruit de cette soirée trop banale pour nous deux.
- T'es venue seule ?
- Avec Aurélie mais elle m'a dit quelle dormait chez Jean Marc ce soir.
- Et pas toi ?
- Non moi je dors dans tes bras dit elle en rigolant
- Je suis à ton entière disposition.
- Quel gentleman, il me propose son blouson, et maintenant ses bras, j'ai hâte de voir ce que tu vas me proposer dans 2 minutes !!
Elle ne perd pas le nord, et je commence à voir clair dans ses pensées, à moins que ce soit encore ce maudit punch qui me joue des tours...

- Je suis garée là.
Elle ouvre sa portière arrière et se penche pour chercher sa veste à l'autre bout de la voiture laissant découvrir le haut de ses cuisses à la lueur des lampadaires. Mon sexe commençait à se manifester, lui aussi voyait clair dans mes idées...
Elle enfile sa veste et se rassoit sur la banquette.
- Je suis pompette moi
Puis elle se laisse tomber su la banquette laissant juste sortir ses jambes à l'extérieur.
- Je veux bien tes bras là... lance t'elle du fond de sa voiture.

Je n'ai pas d'autre moyen que de m'allonger à ses cotés, mon sexe gonflé à bloc, elle enroule ses bras autour de mon cou et commence par un baiser bien plus fougueux que ceux que l'ont trouve au collège.
Je remonte ma main sur ses jambes qui m'ont fait tourner la tête toute la soirée, et bien plus que le punch.

- Attend je ferme la porte
Elle se rassoit pour fermer la porte et en profite après pour me défaire mon jean.
- Pas de caleçon, mais c'est très excitant ca monsieur le Gentleman
Elle libère ainsi mon sexe plus que ravi de cette situation et commence à le caresser en se rallongeant à mes cotés. Ma respiration s'accélère avec mon rythme cardiaque. Mes mains sont déjà parties à l'exploration de ses fesses très appétissantes dans ce string en dentelle dont je ne peux encore voir la couleur.
Puis elle se rassoit une nouvelle fois et enlève son string. J'en profite pour dégainer un capuchon...
Elle commence à se caresser lentement laissant dévoiler son intimité.
Je commence à embrasser ses cuisses puis remontent vers son entrejambe. Je commence à l'entendre, sa respiration s'accélère aussi. Je la regarde en même temps, elle se mord les lèvres en fermant les yeux...je passe ùa langue sur ses autres lèvres déjà très gonflées.
Puis elle s'allonge sur le dos les bras en l'air faisant mine d'être attachée, cuisses ouvertes jupe remontée.
Je m'installe sur elle en embrassant son décolleté, elle se cambre ne laissant que sa tète et ses fesses en contact avec la banquette, l'occasion pour moi de remonter ce haut et de découvrir sa poitrine généreuse et superbe. Ma bouche parcours le moindre recoin de ses deux seins puis redescend vers son nombril, je redécouvre son mont de vénus et commence à caresser mon sexe entres ses lèvres chaudes et humides.
- Oh oui, viens j'en peux plus
Je m'exécute alors et commence un va et vient lent et profond en prenant ses deux chevilles dans mes mains.
Elle est superbe, faire l'amour avec une femme comme elle mérite tout les efforts du monde et je regrette d'avoir autant bu et de ne pas avoir tous mes esprits pour profiter au maximum de ce moment.
Elle s'allonge à son tour sur moi et me dévore le cou pendant qu'elle se laisse pénétrer. Mes mains parcours ses hanches et ses fesses puis elle se relève un peu, me proposant ainsi ses seins à ma bouche qui profite encore de cette superbe poitrine.
Ses cuisses remontent le long de mon corps pour me proposer encore une fois de jouer de ma langue experte.
- Lèche moi encore
Elle frotte son sexe sur ma langue en prenant soin d'appuyer assez fort à chaque mouvement libérant de petits miaulements qui me font le plus grand effet...
Puis je m'assoie, elle vient sur moi et nous voilà parti pour un bouquet final de longue haleine qui remplit les vitres de la voiture d'une buée chaude qui nous cache de la route. On ne se retient plus, l'étreinte tourne à son plein régime. Elle pousse des cris de jouissance cachant les miens. On s'oublie, on est perdu, on s'abandonne et c'est si bon !!!!

On reste collé l'un à l'autre pendant quelques minutes.

En se rhabillant, elle me demande
- Tu ne m'as pas répondu tout à l'heure, T'habites où ?
Je lui donne donc mon adresse et surtout mon numéro de téléphone car il était impossible d'en rester là après ce moment inoubliable.
- J'espère qu'on se reverra à mon retour de vacances, je pars demain.
- Fait bonne route alors, et pas de bêtise !!!

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Par stif44
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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 13:55

De bien belles vacances (épisode 1)

Introduction :
J'aime les récits, ils titillent notre imagination souvent bien plus que n'importe quelle photos ou videos et puis c'est plus discret à lire quand on est au travail ;-)
Voici donc une histoire 100% imaginaire qui se déroule en plusieurs épisodes. Soyez indulgent c'est une première. Et pour les fautes d'ortographes, passez outre, merci.

Episode 1 - Médecine très douce

Voilà trois heures que je roule sous cette pluie, le fraca des gouttes sur le toit me rappel sans cesse mon mal de crâne. J'ai surement trop bu de blanc hier soir, mais cette soirée était sympathique j'y reviendrai plus tard.

Me voilà dans ce village qui respire la tranquilité, il n'y a pas un chat qui traine,mais de ce temps, rien de surprenant. J'apercois cette fameuse croix verte clignotante qui caractérise toutes les pharmacies de mon beau pays. Ils auront surement quelquechose à me donner pour ce mal de crane. Je me gare puis cours sous cette pluie battante en essayant en vain d'éviter les gouttes... j'entre.

Personne pour accueillir, je m'approche quand même car j'entend du bruit dans l'arrière boutique. La voilà, dans sa blouse blanche, très coquette, la trentaine, brune, pas très grande, autour du mètre 60, de beaux yeux noisettes, et un grand sourire, bref une superbe femme...

- Excusez moi j'était en train de ranger, nous sommes fermer normalement.
- Ah excusez moi, c'était ouvert je ne savais pas.
- Qu'est ce qu'il vous fallait.
- Ca fait trois heures que je conduis là et je me trimballe un mal de crane depuis mon départ.
- Ha, attendez je vais chercher ce qu'il vous faut

Puis elle repart d'ou elle vient.

- On a trop bu hier soir ? me lance t'elle de l'arrière boutique.
- Probablement....

La voila qu'elle reviens avec sa boite.

- Voila prenez en un maintenant, ca devrait se calmer.
- Je n'ai pas d'eau dans ma voiture.
- Attendez je vais vous chercher ça.

Elle reviens avec un verre d'eau. Je plonge mon medicament effervescent. La porte de la pharmacie s'ouvre de nouveau.

- Désolé, on est fermé madame.

La dame repart en marmonant sous son parapluie. Et ma charmante pharmacienne s'empresse de verouiller la porte pour ne plus avoir à être désagréable...

- Je suis désolé, j'arrive un peu tard, je peu vous offrir un café peut être pour vous remercier.
- C'est gentil, mais le café est a deux rues d'ici et avec cette pluie je n'ai pas de courrir en blouse et je ne veux pas vous faire attendre en me changeant
- J'ai tout mon temps
- J'ai du café moi aussi, venez donc, passez par la porte battante ici.

Elle me designe de la tete la porte battante ou bout de l'accueil. Et me voila dans l'arriere boutique avec tout ces tirroirs, ces posters de propagande du ministère "Manger Bouger", sa charmante petite pharmacienne qui prépare du café. Elle me questionne sans me regarder, concentrer sur son filtre à café et son café moulu.

- Vous n'êtes donc pas du coin ?
- Non j'arrive de Nantes, je vais dans le sud en vacances.
- Ou ca ?
- Au Cap d'Agde...
- Haaaa, je connais bien. J'y suis deja allé deux fois. Vous y allez seul ?
- Et oui
- Vous allez bien vous amusez... dit elle en me lancant un regard qui en dit long sur ces vacances à elle.

- C'est très sympa comme endroit, je vous accompagnerai bien croyez moi !
- J'ai encore de la place.
- C'est gentil, vous êtes adorable mais j'en connais un qui va tirer la tronche.

C'est vrai que cette alliance qui trone sur son doigt met fin à mes illusions.

- J'espère que vous allez vous protéger
- Je n'y vais pas spécialement pour le sexe vous savez
- Oui, c'est ce que je disais aussi ajoute t'elle en rigolant

- On a ce qu'il faut ici autrement .... dit elle en me designant de ces beaux yeux un presentoire de preservatifs très coloré
- Ils sont fruités, moi j'aime bien à la fraise rajoute t'elle
Je m'approche du présentoire en parcourant toutes ces couleurs et toutes ces saveurs.
- Ya meme à la poire, c'est rigolo
- Oui, j'ai jamais essayé ceux là.

Elle était juste derrière moi, toute proche et le timbre de sa voix avait changé, bien plus intime. Est ce que je me fait encore des illusions ?
Puis en passant son bras autour de mon corps en saisi un à la poire.
Je me retourne et elle me montre ce préservatif sous mon nez, se rapproche encore de moi me poussant contre le présentoir.

- J'aimerai gouter, vous m'aidez ?

Puis elle se recule tout doucement en enlevant un a un les boutons de sa blouse jusqu'a la table ou trone la cafetiere qui commence à palpiter elle aussi.
Sa blouse s'ouvre enfin laissant voir un soutient gorge en dentelle rose et violet mettant bien en valeur cette poirtine généreuse, et ce string de la même couleur vient faire exploser mon rythme cardiaque.
J'entend presque les préservatifs du présentorie derrière moi me dire "vas y fonce mon vieux !!" en voyant cette femme magnifique, assise sur la table, blouse negligemment ouverte, jambes accuillante...

Je m'approche donc d'elle jusqu'a arrivé entre ses cuisses ouvertes sur cette table et commence à parcourir son cou avec mes baisers et ses cuisses avec mes mains. Elle se laisse faire les mains posés sur la table. Je commence à remonter mes mains sur son corps, puis dans le dos pour defaire ce soutient gorge.

- C'est devant me susurre t'elle à l'oreille.

Quel maladroit, j'assure vraiment pas... je repasse mes mains devant et defait enfin ce soutif delivrant ainsi ces superbes seins. Je ne peux m'empecher de les embrasser, de les lecher, et ses paroles commence à me rendre dingue.

- Oui embrasse les, ils sont pour toi...

Elle se releve et me coince a son tour contre la table, puis s'accroupi pour enlever mon short et mon calecon. Elle commence à enfiler se fameux preservatif sur mon sexe déjà prèt pour cet instant magique. Puis je sens ses mains sur mes fesses et sa langue parcourir ma friandise à la poire, elle n'oublie aucune partie et sa gourmandise la conduit a me sucer avec force et passion.

Elle se relève pour se rassoir sur la table puis en enlevant son string me lance :

- J'aimerai bien que tu fasse gouter aussi à mes autres lèvres

Je n'arrive plus a me controler, je suis comme un robot a ses ordres, et j'entreprend dejà un va et vient soutenu et ample entre ses reins. Elle non plus n'a plus le controle et commence à pousser de petits cris qui me font un effet beaucoup moins petits. Je ne peux me retenir, cette situation inhabituelle pour moi depasse la plupart de mes fantasmes, et je me met aussi à gémir sentant le plaisir remonter du plus profond de moi. La jouissance était longue et explosive. Je la sentait venir en même temps que la sienne qui avait l'air tout aussi explosive.

Je rouvrer les yeux et vois les siens fixer un coin du plafond, je me retourne, une caméra.

- C'est quoi cette caméra là ?
- Elle ne fonctionne plus...

Je n'en croyait pas un mot, je me rhabille un peu coupable, un peu paniqué, est ce que son mari nous mattait, ou alors enregistrait t'elle ses ebats pour se venger de son mari infidèle, ou pour son simple plaisir d'être filmée ?

Elle ne remet que deux boutons de sa blouse, laisse son string sur la table et me raccompagne sans dire un mot à la porte.
Le café est bouillu.
Le verre d'eau est toujours là sur le comptoir.
Elle referme derrière moi
J'ai l'impression de me reveiller après un fabuleux rêve
Il ne pleu plus
Mon mal de crane est parti
La vie est belle